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Philosophie & Démarche
Pas de salades
Loin d’incarner le Père Castor, malgré tout le respect qu’on lui porte, java ne raconte pas d’histoires. L’atelier s’intègre dans une narration sur-mesure qui s’adapte et s’applique singulièrement à chaque projet, à chaque territoire.
Il repose sur la diversité de médias que le monde moderne peut offrir : l’édition, l’affichage, la radio, la vidéo et internet, parfois associés à de l’événementiel culturel.
Radio check : un, deux, un, deux
java facilite le dialogue et la communication entre professionnels – architectes, urbanistes, paysagistes, promoteurs, aménageurs, collectivités territoriales – et usagers, parfois amateurs, pour sensibiliser, expliquer, informer, promouvoir ou imaginer le devenir de nos espaces de vie.
In situ – In vivo
java croit en la force des liens proches*
et des circuits courts. L’atelier s’entoure d’acteurs ancrés au territoire de projet et révèle les ressources et talents locaux.*version originale du sociologue Mark Granovetter : «la force des liens faibles»
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Genèse & parcours
Julia Vallvé, fondatrice de l’atelier java,
a fait un triple cursus alliant la communication à l’ESC La Rochelle, la production interculturelle à la Sorbonne-Nouvelle et l’aménagement du territoire à l’université Jean-François Champollion.Depuis une dizaine d’années, ses expériences rapprochent culture, architecture et urbanisme, pour aujourd’hui combiner et associer ces trois disciplines :
. LAN, Paris (communication)
. Bellastock, Paris (médiation urbaine et communication)
. Mécanique générale, Paris (production et communication)
. Make Music Vancouver (programmation culturelle, production)
. Alliance française, Vancouver (programmation culturelle)
. Institutions by Artists, Vancouver (programmation culturelle, médiation, édition)
. Fondation Suisse, Paris (programmation culturelle et communication)
Amoureuse des mots, attentive aux gens et passionnée par les mécanismes de fabrication de la ville, elle souhaite faire de la ville une aire de vie, de jeux, de rencontre et de fête.
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Contact
ADRESSE Julia Vallvé | 6 place Danton | 44100 Nantes TELEPHONE 06 12 24 96 76 MAIL latelierjava@gmail.com
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Crédits
IDENTITE GRAPHIQUE Bruno Faivre DESIGN ET DEVELOPPEMENT WEB Atelier La Casse
La Générale
C’est un groupement associatif composé du collectif Vous, de La Lucciola, d’Aurélien Lemaitre et de l’atelier java qui est chargé de l’animation de la maison du projet et de la médiation urbaine de la Caserne Mellinet à Nantes.
Le collectif Vous, La Lucciola, Aurélien Lemaitre et l’atelier java ont remporté l’appel à manifestation d’intérêt (AMI) lancé par Nantes Métropole Aménagement pour la gestion et l’animation de la maison du projet de la Caserne Mellinet à Nantes.
Une aventure collective, culturelle, sociale et urbaine s’amorce !

Cela fait bien longtemps que les murs se dressent autour de l’enceinte de la caserne délaissée depuis une dizaine d’années. Effacée de la carte mentale des habitants qui l’entourent, elle devient depuis 2013 un lieu en mouvement, un espace en devenir, qui préoccupe, interroge et attise à nouveau leur curiosité.
Après la réhabilitation et l’aménagement du bâtiment qui accueillera la maison du projet, La Générale s’y installera et débutera ses activités centrées autour de trois pôles : l’animation culturelle, la conciergerie et la petite restauration.

Les ateliers de concertation, le Journal du projet, le site internet de Nantes Aménagement sont autant d’outils qui renseignent l’usager intéressé et touché par le sujet. Ils constituent une communication formelle et informative.
L’atelier java se propose de compléter cette information par la micro-édition et l’évènementiel culturel. L’objectif est double. Il s’agit à la fois d’inciter un public extérieur à venir découvrir le projet et de s’y impliquer par le biais de la Maison du projet, mais aussi de révéler la caserne et son futur urbain sous un autre jour.
Ainsi l’atelier java, en collaboration avec l’association La Luciola, met en place une gazette mensuelle. Elle est le fruit d’ateliers hebdomadaires d’écriture, de dessin et d’expérimentations graphiques, organisés par La Générale, et s’adressent aux usagers, passants, curieux et voisins. Ce journal de bord sensible, sur un mode informel, devient la mémoire immatérielle de l’évolution du projet. Il capte les sentiments, dialogue avec l’avenir, résout les craintes, révèle les imaginaires et retrace l’histoire du lieu et de ses acteurs. Distribué à l’échelle du grand quartier et dans la maison du projet, la gazette constitue un outil fédérateur.
Cette micro-édition collaborative, et les ateliers qui la nourrissent, représentent une entrée dans le projet et un repère pour la vie de quartier. Elle est le haut parleur des acteurs, autant experts que néophytes, qui gravitent autour du projet urbain de la caserne Mellinet.